Au Canada comme ailleurs, des menaces comme les changements climatiques, les inégalités croissantes en matière de revenus, la montée de la radicalisation et du fondamentalisme, la réconciliation entre les peuples autochtones et non autochtones, la rareté des ressources et l’insécurité alimentaire mettent à l’épreuve la capacité de nos établissements à réagir.

Afin de créer un avenir plus juste et durable, nous devons modifier et, dans certains cas, repenser nos infrastructures sociales, c’est-à-dire les normes et les relations organisationnelles à la base des systèmes et établissements. Nous parlons depuis assez longtemps des « silos » et du besoin de « réinventer la roue ». Nous avons désormais besoin de relations et de structures qui permettront à la société d’expérimenter, d’apprendre et d’évoluer vers un niveau plus élevé de résilience, d’inclusivité, d’équité sociale et de durabilité, et ce, pour pouvoir nous adapter au monde complexe et connecté d’aujourd’hui.

Repositionner les universités et modifier les relations qu’elles entretiennent avec les villes grâce notamment à des politiques d’approvisionnement sociales, ou encourager le bien-être des étudiants grâce à des activités d’engagement communautaire et de formation de pleine conscience renvoie par exemple aux infrastructures sociales.

C‘est donc en collaboration avec des partenaires de tous les secteurs que La fondation s’efforce de découvrir et de réorienter des actifs institutionnels pour améliorer le sort des gens et de la planète.

Les travaux qui portent sur les infrastructures sociales sont guidés par le besoin d’atteindre les objectifs ambitieux de durabilité planétaire énoncés dans le cadre des Objectifs de développement durable des Nations Unies. Cela entraîne la nécessité de réajuster les mesures et méthodes d’évaluation.

L’innovation entourant les infrastructures sociales peut prendre plusieurs formes :

  • des universités qui s’approvisionnent localement pour leurs cafétérias et contribuent ainsi à l’économie régionale des agriculteurs et transformateurs;
  • des villes offrant des bâtiments vacants et des terrains non aménagés pour des activités qui améliorent les biens communs, par exemple des parcs ou des marchés éphémères;
  • des gouvernements qui utilisent l’élaboration de budgets axés sur les résultats, l’analyse de données et des plateformes collaboratives pour encourager l’innovation, tout en veillant à l’obligation de rendre compte des résultats;
  • des plateformes de défi pour accélérer l’innovation grâce à la production participative d’idées et au développement de voies permettant d’accroître l’ampleur des innovations.Afin de créer un avenir plus juste et durable, nous devons modifier et, dans certains cas, repenser nos infrastructures sociales, c’est-à-dire les normes et les relations organisationnelles à la base des systèmes et établissements. Nous parlons depuis assez longtemps des « silos » et du besoin de « réinventer la roue ». Nous avons désormais besoin de relations et de structures qui permettront à la société d’expérimenter, d’apprendre et d’évoluer vers un niveau plus élevé de résilience, d’inclusivité, d’équité sociale et de durabilité, et ce, pour pouvoir nous adapter au monde complexe et connecté d’aujourd’hui.Repositionner les universités et modifier les relations qu’elles entretiennent avec les villes grâce notamment à des politiques d’approvisionnement sociales, ou encourager le bien-être des étudiants grâce à des activités d’engagement communautaire et de formation de pleine conscience renvoie par exemple aux infrastructures sociales.

    C‘est donc en collaboration avec des partenaires de tous les secteurs que La fondation s’efforce de découvrir et de réorienter des actifs institutionnels pour améliorer le sort des gens et de la planète.

    Les travaux qui portent sur les infrastructures sociales sont guidés par le besoin d’atteindre les objectifs ambitieux de durabilité planétaire énoncés dans le cadre des Objectifs de développement durable des Nations Unies. Cela entraîne la nécessité de réajuster les mesures et méthodes d’évaluation.

    L’innovation entourant les infrastructures sociales peut prendre plusieurs formes :

    • des universités qui s’approvisionnent localement pour leurs cafétérias et contribuent ainsi à l’économie régionale des agriculteurs et transformateurs;
    • des villes offrant des bâtiments vacants et des terrains non aménagés pour des activités qui améliorent les biens communs, par exemple des parcs ou des marchés éphémères;
    • des gouvernements qui utilisent l’élaboration de budgets axés sur les résultats, l’analyse de données et des plateformes collaboratives pour encourager l’innovation, tout en veillant à l’obligation de rendre compte des résultats;
    • des plateformes de défi pour accélérer l’innovation grâce à la production participative d’idées et au développement de voies permettant d’accroître l’ampleur des innovations.

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